Eh oui, déjà un an… En novembre 2008, j’avais eu l’occasion de raconter les origines et l’extraordinaire importance pour les américains de Thanksgiving, la grande fête de la gratitude, où on se retrouve en famille ou entre amis autour d’une dinde rôtie.
Thanksgiving a toujours lieu le quatrième jeudi de novembre.
Ce qui nécessite donc de se coltiner une fois de plus avec une dinde…
J’en parle avec une certaine distance parce que c’est fait, j’ai affronté l’animal. Notre eglise organise régulièrement des «potlucks», repas pris en commun le dimanche après le culte, où chacun participe au menu. A Thanksgiving, ce repas a lieu le dimanche qui précède Thanksgiving – dimanche dernier donc - et j’apportais une des dindes.
Je commence à etre rodée de ce coté là. Comme l’an dernier, j’ai évité d’avoir à affronter une dinde congelée – un lourd bloc de glace difficile à manier et dont la décongélation prend des jours. Une dinde réfrigérée, c’est largement suffisant à affronter.
Congélation ou pas, les intérieurs d’un volatile de 22 livres qui sort du frigidaire restent froidement inhospitaliers quand il faut les explorer pour en extraire cou et gésiers…
Hier, le jour dit de Thanksgiving, nous étions invités chez des amis, et nous nous sommes contentés, non sans déplaisir, d’apporter un dessert et un plat de patates douces, un des accompagnements habituels de ce repas traditionnel.
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